Depuis deux ans, nous subissons un harcèlement continu des ministres socialistes.
Je pense que l’exaspération qui en découle va nous conduire à une droitisation sans précédent !
Des réformes désordonnées :
La liste est particulièrement longue :
- mariage pour tous,
- diesel dorénavant proscrit et essence encouragée,
- suppression de la semaine de réflexion avant une IVG
- salles de shoot,
- paquets de cigarettes neutres,
- interdiction de vapoter dans certains lieux,
- remise à plat des lois sur la fin de vie,
- réglementation des taxis,
- circulation alternée,
- 80km/h sur les routes nationales,
- écotaxe, puis plus écotaxe,
- interdiction de fumer en présence d’enfants de moins de 12 ans,
- loi macron et ses plus de 300 articles,
- interdiction de faire des feux de cheminées dans des foyers ouverts,
- interdiction des diesels de plus de 10 ans dans la capitale,
- arrêt de la centrale de Fessenheim,
- Interdiction du gaz de schiste,
- échevinage des Tribunaux de commerce,
- changement de l’organisation des Prud’hommes,
- changement de l’étiquetage de la viande,
- obligation d’afficher les plats faits maison à l’entrée des restaurants,
- interdiction des oreillettes et kit mains libres au volant,
- pénalisation des clients des prostituées,
- réforme des rythmes scolaires,
- tiers payant pour les médecins,
- ouverture aux super-marchés de la vente de médicaments,
- …
et je pense que j’en ai oublié 10 fois plus
Ce qui est particulièrement désagréable, c’ est le sentiment que ces « réformes » ne correspondent pas à des nécessités impérieuses, mais à la seule volonté des ministres concernés de laisser leur marque avant d’être balayés par la prochaine élection ou par un remaniement impromptu.
Qui plus est, le temps pressant, ces réformes ne sont pas « négociées », mais imposées à la hussarde, un peu comme si les députés socialistes savaient qu’il n’en en plus pour longtemps pour voter leurs derniers textes.
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Un sentiment de viol :
Du coup, chaque français ressent dans sa chair l’effet d’au moins une ou deux de ces réformes ; que vous soyez homme, femme ou enfant, plombier, secrétaire, restaurateur, taxi, notaire, retraité, automobiliste, parisien, borgne, boiteux, hétérosexuel, fumeur, smicard, piéton ou ecclésiastique, au moins une réforme vous concerne.
Cette réforme vous atteint en plein cœur, bridant votre liberté, vous obligeant à ne plus faire comme avant, à renoncer à un plaisir, ou à un vice, ou tout simplement à devenir un contrevenant comme un autre.
Bref vous avez l’impression de vous faire écraser par la grande machine bureaucratique, non pas celle de l’Europe, mais bien celle de la France ! Cette machine incarnée par ces millions de fonctionnaires qui réglementent, interdisent, contrôlent, changent, réforment, rédigent, classent, trient, tournent en rond, envoient des notes, des circulaires, se réunissent, décident de votre sort, de ce que vous avez le droit de faire ou de ne pas faire … bref qui vous gâchent la vie, et accessoirement vous coûtent très cher.
Ce sentiment pousse à l’exaspération.
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Et alors ?
ne cherchez pas ailleurs les raisons de la droitisation des français.