La théorie du genre a fait l’objet de quelques révisions déchirantes en Norvège, pays pourtant très en avance sur le sujet.
Le déclencheur a été un documentaire diffusé à la télévision.
Installez vous confortablement … on va le regarder ensemble.
Pour voir le documentaire :
Le documentaire est présenté par Harald Eia, journaliste apprécié ; la version sous titrée en français est ici
Il dure quand même près de 40 mn
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Si vous voulez un résumé :
Ce documentaire, plein d’humour, est partagé en 4 parties
- une introduction sur les différences bien connues entre hommes et femmes au travail,
- un interview de quelques fonctionnaires norvégiens en charge de promouvoir l’égalité des sexes,
- une visite dans 4 laboratoires de recherche aux US et en Angleterre,
- un retour vers les fonctionnaires pour les mettre en face de leurs contradictions.
Le plus intéressant est l’avis des médecins, américains ou anglais, qui, bien que travaillant sur le sujet depuis des années, n’ont clairement pas adopté la théorie du genre.
Je vous résume rapidement les 4 chapitres en question :
- un médecin fait une vaste enquête dans 53 pays de cultures extrêmement différentes ; cette enquête démontre que les femmes ont exactement les mêmes aspirations en Arabie Séoudite, en Chine, en Norvège, au Brésil, en Afrique … Ce qui montre que la culture est sans incidence sur leurs goûts,
- un pédopsychiatre travaille sur des enfants qui ont des malformations génitales, et dit que très tôt les garçons et les filles choisissent des jouets différents, et ce avant même que la culture ait pu avoir une incidence,
- un médecin spécialiste de l’autisme étudie l’attirance spontanée des nourrissons pour un visage humain ou pour un objet mécanique, et note que selon le taux de testostérone intra-utéro, les bébés se démarquent dès la naissance ; que le lien entre exposition à la testostérone et l’empathie à l’age adulte est patent,
- une psychologue spécialiste de l’évolution, se pose la question de savoir pourquoi l’évolution aurait conduit à des différence entre filles et garçons au niveau de la taille, de la musculature, du système pileux, du système endocrinien … Et n’aurait pas eu la moindre action au niveau du cerveau !!!
A la suite de ce reportage, toutes les subventions de l’état norvégien à la théorie du genre ont été supprimées.