Quelques idées de réformes

Je ne suis ni un homme politique ni un idéologue ! Mais voici quelques idées qui valent ce qu’elles valent.


Déficit de la Sécurité Sociale

En 2015, le budget de la Sécurité Sociale était de l’ordre de 477 Milliards d’€ ; le déficit était de 13 Milliards d’€, soit 9%.

Pour combattre ce déficit, rien de plus simple :

  • Je propose que chaque Trimestre, le pourcentage du déficit soit publié (9% dans notre exemple),
  • Une fois publié, la Sécurité Sociale déterminera son taux de couverture pour le trimestre suivant (par exemple : 100%-9% = 91%),
  • Une fois ce taux publié, la Sécurité Sociale ne remboursera plus qu’au prorata dudit taux.

Ainsi, les français sentiront directement l’effet du dépassement budgétaire ; et l’équilibre sera automatiquement réduit.

Accessoirement, je propose qu’il soit possible de ne plus adhérer à la sécurité sociale, et ce afin d’introduire une saine concurrence sur ce « marché ».

La lutte contre l’immigration illégale :

Prenons l’exemple des États Unis mettant en place la « green card » :

  • Les migrants reçoivent une carte verte pour le durée de leur autorisation de séjour,
  • Cette carte verte leur permet de travailler,
  • Tout migrant contrôlé qui ne peut montrer sa carte est conduit dans un centre de rétention, et expulsé,
  • Si la nationalité de la personne est inconnue (la personne a détruit ses papiers d’origine, et tait sa nationalité), elle est emprisonnée sans limite de durée.
  • Dans tous les autres cas, le juge statue.

et ça marche plutôt bien !

L’Europe :

Se retirer de la CEDH (Convention Européenne des Droits de l’Homme) ; ainsi la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Homme) n’aura plus d’effet sur notre destin.

Ne pas fermer les frontières, mais rétablir des contrôles aléatoires sur le territoire (et appliquer ce qui est dit dans le chapitre précédent).

Chercher à ne réformer qu’une seule chose : la gouvernance de la BCE … après on verra

Le chômage :

Si baisser le chômage était facile, ça se saurait.

La voie est évidemment dans le passage d’un système qui protège les salariés, à un système qui protège l’activité.

Une autre façon de le dire (tel que développé dans  un article précédent sur ce blog), est qu’il nous faut passer d’un modèle « social » (qui génère dans tous les pays qui l’on adopté 8 à 10% de chômage), à un modèle « libéral » (4 à 5% de chômage) ; que sauf dans les pays anglo-saxons où la population est viscéralement opposée à l’intervention de l’état, il est illusoire de penser qu’un vote démocratique puisse conduire à la mise en place d’un modèle libéral ; que donc, seul un passage en force est capable de nous faire revenir à un modèle « libéral ».

L’insécurité :

Plus aucune remise de peine.

Construire des prisons coûtera bien moins cher que laisser dériver l’insécurité.

Le communautarisme :

Les « associations », au sens large, sont la clef de voute du communautarisme.

Sous le contrôle du parlement, établissons une liste des associations dangereuses : salafistes, indépendantistes, nihilistes.

Sur cette base, et de la même façon qu’il est interdit de créer des associations néo-nazies, interdisons ces associations.

Bien entendu, elles ressurgiront sous d’autres noms, mais au moins l’ennemi intérieur sera identifié et la transgression caractérisée !

 

Laisser un commentaire